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    Un peu de Soju? (Acte 22)

    Quand il fait très très chaud, un petit verre (même de Soju), ça ne fait jamais de mal 😉

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    7 Réponses vers “Un peu de Soju? (Acte 22)”

    1. Corscia says:

      tournee generale, barman !!!

    2. Tescolotus says:

      avec http://youtu.be/pAQuo5MU1Zs (cool dance) de la miss obligatoire, einh Corscia 😉

    3. Bravo les cahiers du foot 😉

      Le Combat entre l’éléphant et l’hippopotame.

      Vous avez toujours voulu savoir qui de l’éléphant ou de l’hippopotame est le plus balaise ? Avouez que comme moi, cette question vous a hanté de nombreux dimanche matins. Et bien on a avoir l’occasion de savoir, nous, à Marseille, grâce à l’OM.

      Dans le coin gauche, short blanc moulant, le challenger; l’éléphant Labrune. L’éléphant qui trompe énormément. Le seul pachyderme qui joue sa vie comme une main de poker.
      Dans le coin droit, short bleu engoncé sous la bedaine, le champion du marigot, celui qu’on ne présente plus, l’hippopotame “môssieur Jean Claude”.

      Alors c’est quoi l’histoire ? Le club en premier. Les sous en conséquence.

      L’éléphant charge en premier. Bim bam. Défense barrissante, il empale le conseil de surveillance, se l’approprie, bam boum, de sa trompe il balance les agents habitués de la commanderie. Le chevalier blanc version Serengeti.

      L’hippopotame fait la sourde oreille. Pendant la journée le soleil est trop fort, et la boue trop sèche s’y rouler et se protéger. Il n’est pas à son avantage, et est en “campagne électorale” (c’est la période de reproduction ou il défonce la gueule des autres wanna be hippo). Il a mieux à faire que de vagir. D’autant que son marigot encercle la savane de l’éléphant. Patience. Son heure viendra.

      L’éléphant, mâle immense, d’une telle envergure que sa trompe pendouille à Marseille tandis qu’on lui flatte le postérieur à Zurich, défriche l’équipe première, piétine les plants de formation, et arrache même furieusement le Baobabanigo centenaire. Il parade nuptialement pour son éléphante Bielsa sous le regard attendri d’une cornaque quasi cosaque.

      C’est le moment que choisit l’hippopotame pour passer à l’action.

      Alors même que le soleil décline, l’hippopotame bondit hors de l’eau, à toutes forces, et se jette sur l’éléphant qui venait boire au point d’eau, ainsi que toute la faune provençale. Ouvrant largement la gueule, il exhibe un loyer directement calculé par le comptable d’Al Capone suivant une formule mathématique Calabraise, consistant à inclure dans la transaction la mainmise totale sur les revenus générés par le Club.

      Car l’hippo est malin: il a vendu la savane (qu’il n’utilise pas, perso il préfère le marigot) au lion Bouygues, qui n’en à cure des disputes de mastodontes. Lui ce qu’il veut c’est de la chair€ fraich€ régulièrement. Un gnou de brouzouf par mois et basta. Il sait qu’avec ses dents, sa crinière, et sa meute surentrainée, les deux ploucs peuvent se bastonner leur content, il s’en cague. A la limite pendant ce temps, les gnous peuvent s’ébrouer tranquillement… et lui… mmmm….

      Et tout content, l’hippogaudame referme sa machoire bruyamment… et claque. Sur du vide. Juste avant de sentir la papatte affectueuse du pachyderme lui enfoncer les narines dans la vase. Démerdes toi avec tes finances en lambeaux, lui lance l’éléphant. Et vires moi ta tribu d’hippo de l’association OM: la Savanne est mienne.

      L’Hippopotame se retira sous la surface de l’eau, furieux, prêt à piétiner, mordre et blesser… Ah, tu veux être roi en mon marigot ? Eh bien non. Il te faudra t’agenouiller Pinder, moi et mes hippos sommes tout autour. Tu peux me narguer, à siroter dans la mare de Montpellier, mais je sais qu’avant longtemps, tu reviendra au marigot nourrissant…

      L’éléphant, pendant ce temps, économise l’eau, car elle sait qu’il y en a peu, sans doute pas de quoi tenir toute une saison, et après il faudra revenir au marigot. Et de plus, que va penser sa Bielsa ? Car le fait est qu’ils n’ont toujours pas consommé, malgré les apparences, et elle pourrait bien partir du jour au lendemain trouver un mâle plus digne de ses faveurs reconnues et demandées…

      Mais l’hippopotame n’est pas tranquille non plus. Il n’a plus guère la force de son zénith. Il sait que les finances du marigot son déclinantes, et que de jeunes hippos de sa propre tribu pourrait profiter du marasme pour lui faire un sort. Il sait aussi que le Lion ne lui fera aucun cadeau s’il ne fourni pas les gnou et la peau de l’éléphant. Et il doute. Il colère. Il est blessé. Dangereux donc. Mais blessé.

      Et le reste de la savane ?

      Et bien naturellement, le lion Bouygues prend le soleil, se lèche les babines, parfois s’ébroue, et encaisse son gnou mensuel.

      Et les Zébuporters ? Ce grand troupeau dont les migrations de la Solidarité aux Goudes rythment la vie de la savane.

      Et bien les Zébuporters se tiennent coi. Une quiétude assourdissante. Alors même qu’ils promettaient il y à peu de long et interminables piétinements à tous ceux, lions, éléphants, hippos, qui viendraient brouter leur pré carré, les voilà devenu vaches Suisses: neutres, silencieuses, tout juste bonnes à brouter et donner du lait. Ou de la viande.

      C’est bien naturel au fond.

      Du coté des buffles historique, il y a le sentiment que la croisade de l’éléphant est finalement peut être une bonne idée, retirer la savane des mains des hippos marseillais qui en font un marais au lieu d’une oasis, pour lutter contre les nouveaux princes de la faunes Ligain.

      De l’autre, les Singes hurleurs orange, dont les hautes cimes sont autant le refuge que les caves et les parkings souterrains, savent qu’ils doivent l’essentiel de leur survie à l’hippopotame (ils se nourrissent essentiellement des liberalités que les hippogodin et les hippoguérini laissent derrière eux). Mais en même temps, ils ont bien vu ce que l’éléphant avait fait du Baobabanigo. Alors bon, leur tilleul gentillet… Hum.

      La suite du combat lors de la reprise des grandes migrations. Ou avant. Ou pas. Bref, un beau documentaire, merci la cinq le dimanche matin.

      Après y’a toujours un doc sur la bouffe mercato.

    4. Titi says:

      Trop long à lire, je préfères les images 😀

    5. Tescolotus says:

      @Titi: +1, Cool dance ∞ >> OM footchball 😀

    6. Corscia says:

      thx tonton pour la cooldance 😉

    7. Hehe

      Le Combat de l’éléphant et de l’hippopotame; Episode 2.

      Toute la savane bruisse désormais de la rumeur du combat de titan. Même les impudiques singes cachent le rose de leurs fesses, l’éléphant a humilié le seigneur Hippo des lieux, et celui ci entends bien se venger, faire rendre gorge à l’impudent, et profiter à nouveau des bienfaits à profusion de cette savane nourricière.

      Enragé, l’Hippogaudin gronde et fait sonner la charge des quintaux de popotins hors du marigot. Tous sont là. Présents, passé, futurs, les hippos chargent, furieux.

      Mais l’éléphant ne recule pas. Car il n’entend pas juste défier les hippos. Il veut devenir LE nouveau roi de cette savane. Et cela passe en premier par la charge hargneuse du vieil Hippofouco, un vieux mâle blanchi mais féroce.

      Mais l’hippo est imprudent. Il charge en plein jour. A la lumière. Sous le soleil écrasant. Il remue la poussière, et s’il ne prend garde, il deviendrait la cible que l’éléphant entendait bien faire de lui.

      Car entre le vieil hippo et l’éléphanbrune, se trouve les buffles. Les Zébupporters et autres gnous niaffiers; et si ceux ci ne sont que chaire fraiche et victimes expiatoires lorsqu’ils sont isolés, en masse et en mouvement c’est une autre histoire. Ils sont rapides, agiles, et leurs sabots et cornes blessent. Surtout lorsqu’on évolue à découvert en terrain hostile… Et la charge du vieil hippo sera t’elle le chiffon rouge qui fera charger les buffles, donnant de la cornes, piétinant de millions de sabots jusqu’aux petits d’une lionne immobilière autant qu’un vieil hippo impudent, inconscient, croyant connaitre son marais de toujours ?

      En tout cas l’éléphant semble bien le penser… Et il pourrait ne pas avoir tort. Puisqu’à Marseille, les dieux marchent sur la tête, puisque Samia Ghali a trahie Noël Guérini, puisque désormais les juges convoquent des sénateurs et les éboueurs envisagent de travailler, qu’est ce qui ne pourrait pas arriver ?

      Suite au prochain épisode.

      Spoiler alerte: Le déracinement du Baobabanigo centenaire aura laissé béant l’ouverture du nid de termites géants; aveuglés par le soleil, ceux ci ont couru se terrer dans les galeries à moitié éffondrées par les piétinements de l’éléphant.

      Ces termites géants, qui rongent, grignotent, détruisent de l’intérieur, arbres et cases, radeaux et barrages, les maisons des singes obligés de se réfugier sur des rochers, et des oiseaux obligés de nidifier à même la savane.

      Des insectes dangereux, agressifs et nombreux.

      Ils se regroupent. Ils vont tâter de la peau d’éléphant. Il parait qu’elle est dure. Il vaudrait mieux pour lui.

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