The real Milkshake
Marrantes ces pubs pour McDo, elles sont originales et assez bien faites je trouve, c’est fun et ça change 😉 Et vous les amis, qu’en pensez vous? Un petit milkshake, ça vous tente? 😀
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F***** ME, I’M FAMOUS
Blogroll
HS: Excellent!!!!!
Quels visionnaires a l’Express
http://www.lexpress.fr/actualite/sport/jo-2012-manaudou-un-nom-qui-ne-fait-plus-recette_1145496.html
JO 2012: Manaudou, un nom qui ne fait plus recette
Par Matthieu Deprieck, publié le 02/08/2012 à 13:21, mis à jour à 13:31
Florent et Laure Manaudou ne remporteront très certainement pas de médailles lors de ces Jeux. La seconde a même signé deux dernières places dans les courses disputées (100 et 200m dos). Et tout cela dans l’indifférence générale, loin du tumulte de ces dix dernières années.
Un love inscrit dans le creux de la main, des photos dénudées répandues sur Internet, un cliché d’une pseudo Laure en Une de L’Equipe. Depuis dix ans, les Français ont vécu avec les Manaudou, partagé leur album de famille et tous leurs moments, des plus joyeux au plus honteux.
Il y avait bien sûr la grande soeur, dont les hoquets de la vie permettaient d’alimenter mois après mois le roman-photo, mais aussi les frères Nicolas et Florent. Le premier l’avait recueilli en septembre 2007 après une aventure italienne terminée par un licenciement. Le second s’est lancé dans le grand bain du haut-niveau. Une saga familiale, qui devait trouver son épilogue aux Jeux de Londres où Laure et Florent étaient tous les deux qualifiés.
“Qui devait”, car finalement, rien ne s’est déroulé ainsi. Dès sa première course, Laure a montré les limites de sa préparation olympique. Dernier temps de sa série sur 100m dos, elle a été éliminée sans gloire. Cette sortie n’a surpris personne, mais le silence dans lequel elle s’est jouée est plus intrigant. L’ancienne championne elle-même n’a versé aucune larme, se contenant de souligner qu’elle ne venait pas là pour jouer une médaille. Les médias n’ont pas alimenté le suspense d’un éventuel exploit sportif. Et Laure a regagné en silence sa place en tribunes où elle a sans réserve encouragé les nouveaux champions de l’équipe France.
Rebelote ce jeudi, une nouvelle fois éliminée en séries du 200m dos, jadis son royaume. Et toujours en dernière place. Cette fois-ci, la très probable fin de sa carrière sportive n’eut même pas droit au direct sur France Télévisions. Coincée entre les handballeurs français et la judokate Audrey Tcheuméo, l’ancienne championne s’est éclipsée sur la pointe des pieds. Ne reste plus que le 4x100m 4 nages pour sauver l’honneur.
Avant cela la saga Manaudou est déjà devenu un roman historique, rangé au rayon du passé. Le petit-frère aurait pu reprendre la PME familial, mais il n’est pas de la même trempe. Il s’est certes qualifié pour les demi-finales du 50m nage libre ce jeudi matin, mais personne ne pense qu’il pourra monter sur le podium au vu de ses performances dans les grands championnats. Il n’a pas le même talent, il n’a surtout pas le même caractère. Plus discret, il ne commettra pas les mêmes excès que sa soeur, d’autant qu’il fut aux premières loges pour observer les dégâts que cela cause.
Il poursuivra donc son chemin de nageur moyen. S’éteindra ensuite le feuilleton des Manaudou.
Sauf si, comme dans toutes séries américaines, on décide dans 15 ans de ressuciter la licence. Le 2 avril 2010 est née Manon, fille de Laure et Frédérick Bousquet, deux grands nageurs. Alors…
Et au final…
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Un bel article de jalouse digne de Yodan et Pouet
Great picture 😀
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nice pic indeed cut’
Et la Coree elimine la Grande Bretagne au foot, yeah!!!!!!
Au moins, le journaliste aura fait l’effort de s’auto-repondre 😉
http://blogs.lexpress.fr/loosers-du-sport/2012/08/06/florent-manaudou-et-lhistoire-de-ma-grosse-plantade/
Florent Manaudou et l’histoire de ma grosse plantade
Par Matthieu Deprieck, le 6 août 2012 11H39
A l’approche des JO, je cherchais un moyen de relancer ce blog en friche depuis près d’un an. Il fallait trouver une histoire remarquable, un grand moment d’échec, un grand loser. Je l’ai trouvé : pas de bol, c’est moi. Pour ceux qui auraient loupé ma plantade, on rembobine le week-end. Jeudi, je m’arrête, le temps d’un article, sur la famille Manaudou. Et me prend l’envie, va savoir pourquoi, de lancer une prédiction : Florent ne remportera pas de médaille et « il poursuivra son chemin de nageur moyen ». Vendredi soir, le « nageur moyen » réalise la course parfaite et remporte le 50m nage libre.
Je le dis sans détour : je me suis complètement planté. Et vous avez été nombreux à me le faire remarquer. Trois catégories de messages me sont parvenues : 1) ceux qui me soutiennent. Ils sont très peu et je veux leur dire toute mon admiration, car pour me défendre là-dessus, il faut un sacré courage et aimer les causes perdues. 2) ceux qui se moquent de ma bourde. C’est le jeu, j’aurais fait la même chose. Mes propres amis ne se sont d’ailleurs pas gênés depuis vendredi. 3) ceux qui m’insultent, voire m’invitent à me suicider. Puisque vous me lisez, vous en déduirez que je n’ai pas suivi les conseils de ces excités du clavier.
Ces excès de langage m’ont étonné et m’ont refait penser à ce que j’avais écrit jeudi. Certains internautes m’ont accusé d’avoir fait preuve de méchanceté dans mon article, et ce avant même la médaille d’or de Florent Manaudou. Je n’ai pas eu l’impression de l’avoir été, d’autant que j’ai de la sympathie pour Laure Manaudou. Je l’ai croisée en 2007, sa discrétion m’avait surpris, elle que l’on avait projetée dans le star-système. Depuis, j’ai toujours été intrigué par ce contraste. Quelque chose d’hitchcockien : un quidam lancé dans une histoire qui le dépasse.
En septembre 2009, j’avais déjà consacré un article à sa première retraite sportive. Rien de méchant dans celui-ci. Pourquoi trois ans après aurais-je développé une haine (j’ai lu ce mot à mon encontre) envers cette famille ? Quant à Florent, je n’aurais pas dû employer le mot « nageur moyen ». C’est ainsi que je voyais sa carrière au vu de ses chronos : un titre européen, peut-être un podium mondial dans les prochaines années. Il m’a fait mentir, tant mieux pour lui. Tant pis pour moi.
Je dis « tant mieux pour lui », et non, tant mieux pour nous. Certains messages reçus depuis vendredi me faisaient remarquer que je n’étais pas patriote et que plutôt qu’insulter nos champions, je devrais les féliciter. D’ailleurs, je ferais mieux d’adresser fissa « mes excuses à Florent ». Oui, M. Manaudou, désolé de ne pas avoir prévu votre médaille. Voilà qui est fait. Pour le reste, non, je ne suis pas patriote. Je me félicite des performances d’un athlète, pas de savoir s’il est français.
Une dernière remarque et après, je vous laisse réagir dans les commentaires ci-dessous (faites-en sorte qu’un débat raisonnable s’y installe) : je regrette d’autant plus ma phrase sur Florent Manaudou qu’elle éclipse totalement le reste de l’article. Je l’ai écrit pour pointer le silence dans lequel Laure Manaudou a quitté la scène internationale. Sa dernière course individuelle aux JO n’a même pas eu le droit au direct. L’ancienne championne olympique est en réalité revenue sous le feu des projecteurs, à la faveur de la victoire de son frère. L’image d’elle enlaçant lui au bord de la piscine a ravi les télés. Comme s’il fallait une « histoire » autour de Laure Manaudou pour qu’elle existe. A Londres, elle ne s’attendait pas à décrocher une médaille (elle l’a dit elle-même). Elle a ainsi encaissé ses éliminations avec fatalisme, sans larmes comme ce fut le cas à Pékin, en 2008. Cette histoire-là n’a intéressé personne. Le romanesque autour de la famille Manaudou, voilà ce que je voulais souligner dans l’article écrit jeudi dernier. C’est raté.
As-tu déjà vu les pubs suisses pour le lait ?
http://www.dailymotion.com/video/x11rjv_claquettes-suisses_fun
MMMMeeeeeeeeeuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhh 😀